Comme en 1930 où le physique des personnes juives était utilisé pour nourrir l’antisémitisme, aujourd’hui, une caractéristique physique comme une tache sur le front liée à la pratique religieuse de certains musulmans est érigée au rang de signe religieux ostentatoire au même titre qu’un habit vestimentaire. Ce raisonnement juridique est islamophobe et doit être contesté, comme le font Amine et son avocat. Témoignage à écouter jusqu’au bout.