Nada a vécu une humiliation publique en voulant assister à sa remise des diplômes.

Nada a vécu une humiliation publique en voulant assister à sa remise des diplômes.
Découvrez l’histoire poignante de Sara, jeune fille harcelée par la direction de son collège pour des raisons racistes et islamophobes, ainsi que les conséquences dévastatrices que cela a eu sur toute sa famille. Chaque année, à la même période, nous faisons le bilan de l’état de l’islamophobie en Europe : la situation ne cesse de se dégrader : les attaques contre les musulman(e)s, leurs lieux de culte et leurs droits fondamentaux se multiplient. Faites un don pour nous donner les outils nécessaires à la lutte contre l’islamophobie. #SolidairesEnsemble #CCIE #CCIETémoignage
Cette année marque le 30e anniversaire du génocide des Bosniaques musulmans de Srebrenica, un crime islamophobe d’une barbarie inqualifiable, le pire perpétré en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale.
Cette année marque le 30e anniversaire du génocide des Bosniaques musulmans de Srebrenica, un crime islamophobe d’une barbarie inqualifiable, le pire perpétré en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale.
Certains médias ont manipulé les résultats d’un sondage IFOP sur la liberté d’expression afin de stigmatiser, une fois de plus, la population musulmane française. Découvrez les véritables chiffres de l’enquête dans cette vidéo.
Amine raconte la perquisition abusive que sa famille et lui ont subie et la spirale de violence dans laquelle ils ont été jetés par les services de police.
Découvrez le témoignage d’une adhérente Premium qui raconte comment le soutien du CCIE l’a aidée face à une injustice concernant son enfant à l’école.
Lors d’un cours de fitness dans un gymnase de collège, la gendarmerie a exigé de Yasmine de quitter les lieux en raison de son turban. Que devient la liberté de chacun(e) dans de telles situations ?
Ce moment qui devait être inoubliable pour cette jeune fille et sa famille s’est transformé en cauchemar. La directrice a exclu la mère portant le foulard de l’établissement, invoquant la loi de 2004 sur les signes religieux, avant de se justifier par des raisons de sécurité. L’enregistrement de cet échange révèle une tentative de couvrir des comportements islamophobes au nom de la « laïcité ».
Certains minimisent les agressions subies par les femmes musulmanes. Mais les faits sont là et les agressions sont bien réelles.